New York/Beyrouth, 26 mars 2021 - Alors que les États arabes s'efforcent de relever les défis inhérents à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD), les efforts de relèvement post-COVID-19 offrent l’occasion de remodeler les économies afin qu’elles deviennent plus productives, plus inclusives et plus durables. Cet objectif ne peut être réalisé que par le renforcement de la solidarité, de la volonté et de la concertation au niveau régional.
Les institutions régionales de l'ONU en Asie et dans le Pacifique accentuent leurs efforts et renforcent la coordination de leurs activités pour aider les pays à répondre à la COVID-19 et à accélérer le développement durable dans la région. La nouvelle plateforme de collaboration régionale pour l'Asie et le Pacifique, un nouveau mécanisme qui rassemble les entités de l'ONU chargées des questions de développement dans la région, s'est réunie pour la première fois le 23 mars.
Anong est âgée de 20 ans. Elle a souffert de graves problèmes de santé et d'anxiété en raison de la crise de la COVID-19. "Je vivais avec un homme et les choses n'étaient pas faciles. Il me forçait à avoir des relations intimes", raconte-t-elle. "Après le confinement, il s’est mis à voir quelqu'un d'autre tout en étant avec moi. Je me suis tue et j'ai accepté la situation. Je n'étais pas protégée et j'ai contracté une infection sexuellement transmissible."
En réponse à la pandémie actuelle, les équipes de l'ONU, partout dans monde, ont uni leurs forces non seulement pour endiguer la propagation de la maladie, mais aussi pour faire face à ses nombreux effets collatéraux, notamment aux pertes d'emplois massives et à l'augmentation des actes de violence de genre. Découvrez en 5 points clés comment l'ONU mène le combat contre cette pandémie.
Les données sont claires. Les femmes n’ont jamais occupé autant de postes de décision dans le secteur public, mais l'égalité est encore loin d'être atteinte : les femmes n'occupent que 21 % environ des postes ministériels dans le monde et seuls 22 pays sont gouvernés par une femme. Au rythme où vont les choses, l'égalité entre les sexes ne sera pas atteinte dans les gouvernements avant 2150, c’est-à-dire avant 130 ans. Mais les femmes persévèrent et leurs actions continuent à apporter la preuve que lorsqu'elles dirigent, elles apportent des changements qui transforment leur communauté et le monde tout entier. Ces changements sont vitaux à l’heure de la COVID-19, du changement climatique, de l'aggravation des inégalités, des conflits et du recul démocratique.
Les inégalités entre les sexes nuisent aux femmes et aux filles et empêchent des sociétés entières de se développer. Lorsque les femmes sont libres, égales aux hommes et autonomes, elles sont plus heureuses sur le plan personnel et en meilleure santé et elles contribuent de manière plus significative à la vie de leur famille, de leur communauté et de leur pays.
L'équipe de l’ONU en Serbie se consacre depuis longtemps à la lutte contre les inégalités entre les sexes. Elle œuvre à ce qu'aucune femme ou fille en Serbie ne soit laissée pour compte. Elle travaille pour cela sur plusieurs fronts : élimination des mariages d'enfants, élimination de la violence domestique, promotion de la santé des femmes pendant la pandémie de COVID-19, etc.
La conclusion de la Réunion Régionale d’examen pour l’Afrique et l’Haïti donne le coup d'envoi d'une série de réunions et de manifestations qui se tiendront en préparation de la Cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (UNLDC-V), une conférence historique prévue à Doha, au Qatar, pour le début de l'année 2022.
Les Yéménites endurent actuellement la pire crise humanitaire que connaisse le monde, une catastrophe aggravée par les effets de la pandémie de COVID-19 et d’une sévère crise économique. Les deux tiers de la population ont besoin d'une aide humanitaire pour survivre. Plus de 16 millions de Yéménites souffriront de la faim cette année.
"Dans ma classe, j'ai 20 élèves et 13 d'entre eux sont issus de familles de bergers", explique Byamba, maîtresse dans une classe de cinquième année, dans un comté reculé de Mongolie situé à plus de 1.000 km de la capitale. La Mongolie est un très vaste pays, où les éleveurs nomades vivent dispersés à travers les steppes et les montagnes pour faire paître leurs troupeaux. Nombreux sont les enfants d’éleveurs qui fréquentent des internats dans des comtés isolés.