L'objectif du programme COVAX soutenu par l'ONU est de permettre à environ un quart de la population des pays les plus pauvres de bénéficier de deux milliards de doses de vaccin contre la COVID-19 d'ici à la fin de 2021. Quels sont les principaux défis à surmonter pour que cette entreprise mondiale historique puisse être menée à bien ?
Vous avez déjà vu ça, probablement plus d’une fois même : des panels d’experts composés uniquement d’hommes. Sans doute ces intervenants ont-ils été invités à parler d'économie, de politique, de mobilisation communautaire ou de santé. Ils sont peut-être des experts dans leur domaine, mais il manque tout de même un élément dans ces panels : des femmes.
Dans les pays de la région Caraïbes, l’ONU apporte aux jeunes femmes et aux mères célibataires le soutien dont elles ont besoin pour faire face aux difficultés engendrées par la pandémie et réaliser leur potentiel. Nous avons choisi de présenter ici les projets mis en œuvre dans ce cadre par l’ONU à Trinité-et-Tobago et, plus au nord, à Sainte-Lucie.
Nous vivons un moment inédit de l’Histoire. La COVID-19 continue de dévaster les systèmes de santé, de paralyser les économies et d'exacerber les inégalités dans le monde entier. Au moment où j'écris ces lignes, la région des Caraïbes reste un épicentre de la pandémie et cela traduit une réalité élémentaire : la résolution des crises mondiales requière des solutions mondiales...
Ce rapport reflète les avancées collectives réalisées au cours de la troisième année de mise en œuvre du Plan-cadre de coopération des Nations Unies pour le développement 2018-2022, ainsi que les défis communs rencontrés au cours de cette année. Il présente également les priorités en matière de développement durable qui devront être mises en œuvre pour soutenir le processus de redressement post-COVID-19 de Cabo Verde et appuyer la réalisation de la transition vers le nouveau Plan stratégique national pour le développement durable 2022-2027 et vers la stratégie baptisée "Ambition 2030".
« C'est votre première année à l'université et votre meilleure amie se fait enlever par un groupe d’hommes pour être mariée de force. Que faites-vous ? ». C'est la question qui est posée dans le jeu "Spring in Bishkek" (traduction littérale : "Printemps à Bichkek"), un jeu vidéo lancé au Kirghizistan avec le soutien de l’Initiative Spotlight.
Jonathan, 42 ans, a travaillé pendant près de 30 ans dans le secteur du bâtiment. Il reconnaît qu'il n'est pas rare que les femmes qui passent devant les chantiers de construction où il travaille soient victimes de toutes sortes d'attaques personnelles : insultes, sifflements, huées et autres formes de harcèlement.
Malgré la douleur qu’elle ressent au bras, Jemimah Katama, infirmière, est ravie de s’être fait administrer le vaccin contre la COVID-19. En tant que Coordinatrice principale du service de prévention et de contrôle des infections de l'Hôpital national Kenyatta, elle sait mieux que personne combien la vaccination est importante.
"Je suis vacciné. Je suis protégé. Je protège les autres". C’est le message que l’on peut lire sur la carte de vaccination que Machad s'est fait remettre. Cet agent de santé béninois est fier d’être l'une des premières personnes à s’être fait vaccinées contre la COVID-19 au Bénin...
Chaque jeudi, Jennifer Barros se rend à Rondon 3, un camp de réfugiés situé dans le nord du Brésil, près de la frontière avec le Venezuela. Jennifer enseigne le portugais dans ce camp où vivent 844 réfugiés et migrants vénézuéliens.Kaleth Colmenares, 12 ans, attend toujours Jennifer à l'école. En février dernier, il a commencé à fréquenter une école publique brésilienne et commençait tout juste à apprendre le portugais quand la pandémie de COVID-19 a frappé. Aujourd'hui, une fois par semaine, il bénéficie de séances de tutorat dans plusieurs matières, dont le portugais.