En réponse à la pandémie actuelle, les équipes de l'ONU, partout dans monde, ont uni leurs forces non seulement pour endiguer la propagation de la maladie, mais aussi pour faire face à ses nombreux effets collatéraux, notamment aux pertes d'emplois massives et à l'augmentation des actes de violence de genre. Découvrez en 5 points clés comment l'ONU mène le combat contre cette pandémie.
Nous voici une année après le début de la pandémie de COVID-19. Notre monde a dû faire face à un tsunami de souffrances. Tant de vies ont été fauchées. Les économies ont été bouleversées et les sociétés ont été ébranlées. Ce sont les plus vulnérables qui ont le plus souffert. Les laissés-pour-compte sont encore plus démunis aujourd’hui qu’ils ne l‘étaient auparavant.
En tant que Coordinatrice nationale des services médicaux d'urgence à Freetown, la capitale, la Lieutenante Moiwo doit jongler entre les services nationaux d'ambulance, les cliniciens qui exercent dans les hôpitaux, les centres de traitement et les unités d'isolement et les services d’aide psychosociale aux patients et aux familles. Elle communique également les résultats des tests et met à jour la base de données nationale sur la COVID-19.
Les données sont claires. Les femmes n’ont jamais occupé autant de postes de décision dans le secteur public, mais l'égalité est encore loin d'être atteinte : les femmes n'occupent que 21 % environ des postes ministériels dans le monde et seuls 22 pays sont gouvernés par une femme. Au rythme où vont les choses, l'égalité entre les sexes ne sera pas atteinte dans les gouvernements avant 2150, c’est-à-dire avant 130 ans. Mais les femmes persévèrent et leurs actions continuent à apporter la preuve que lorsqu'elles dirigent, elles apportent des changements qui transforment leur communauté et le monde tout entier. Ces changements sont vitaux à l’heure de la COVID-19, du changement climatique, de l'aggravation des inégalités, des conflits et du recul démocratique.
En cette année 2021, la Journée internationale de la femme intervient à un moment où le peuple syrien traverse une période de difficultés extraordinaires. Cette semaine marquera le dixième anniversaire d'une crise qui a causé des pertes incommensurables et entraîné des besoins humanitaires multiples et croissants dans tout le pays.
Les inégalités entre les sexes nuisent aux femmes et aux filles et empêchent des sociétés entières de se développer. Lorsque les femmes sont libres, égales aux hommes et autonomes, elles sont plus heureuses sur le plan personnel et en meilleure santé et elles contribuent de manière plus significative à la vie de leur famille, de leur communauté et de leur pays.
L'équipe de l’ONU en Serbie se consacre depuis longtemps à la lutte contre les inégalités entre les sexes. Elle œuvre à ce qu'aucune femme ou fille en Serbie ne soit laissée pour compte. Elle travaille pour cela sur plusieurs fronts : élimination des mariages d'enfants, élimination de la violence domestique, promotion de la santé des femmes pendant la pandémie de COVID-19, etc.
Grâce aux efforts de tout le monde, aux mesures de sécurisation des salles de classes et aux dispositifs d’enseignement à distance mis en place, plus d'un million d'élèves ont pu retourner à l'école au Costa Rica. Grâce à l’appui de l’ONU, le Costa Rica est devenu l'un des premiers pays à rouvrir ses établissements scolaires dans les délais prévus, offrant ainsi sécurité et chances intégration à des milliers d'enfants, d'adolescents et de jeunes.
La conclusion de la Réunion Régionale d’examen pour l’Afrique et l’Haïti donne le coup d'envoi d'une série de réunions et de manifestations qui se tiendront en préparation de la Cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (UNLDC-V), une conférence historique prévue à Doha, au Qatar, pour le début de l'année 2022.