Par moments, les problèmes qui rongent l’Afrique de l'Ouest et la région du Sahel sont si profonds et si complexes qu'ils semblent impossibles à résoudre. Mais là où beaucoup ne voient qu’une crise sans issue, les Nations Unies, elles, voient une opportunité.
La 75ème session de l'Assemblée générale des Nations Unies démarre le 15 septembre et, cette année, en raison de la pandémie mondiale en cours, elle ne ressemblera à aucune des Assemblées générales qu’a connues l’Organisation en trois quarts de siècle d'existence.
Un nouveau programme commun a été mis en œuvre dans trois cantons du Costa Rica pour fournir aux assistantes et assistants sociaux les outils nécessaires pour offrir une protection de base aux familles et permettre aux femmes d’acquérir leur autonomie économique.
La pandémie de COVID-19 est l'une des crises sanitaires, économiques et sociales les plus graves que le monde ait connues depuis des décennies. Au début du mois d'avril, plus de 870.000 cas et plus de 43.000 décès ont été signalés dans le monde en lien avec la COVID-19. Selon l'Organisation panaméricaine de la santé (OPS), le nombre de cas dans la région des Amériques ne cesse d'augmenter.
Il est difficile d'imaginer qu'en 2020, on parle encore de femmes pionnières dans des secteurs d’activité séculaires comme la banque ou la finance, ou bien de "premières" femmes à rejoindre des conseils d'administration ou à diriger des entreprises, alors qu’on devrait considérer comme normal le fait que le monde profite de la féminisation des postes de direction.
Victoria Falls, Zimbabwe, 25 février 2020 (CEA) - Les Nations Unies et l'Union africaine doivent agir davantage pour s'assurer que tous les Africains entrevoient un avenir dans les objectifs de développement durable et dans les objectifs de l'Agenda 2063 de l'Afrique, a déclaré mardi Amina Mohammed, la Vice-Secrétaire générale des Nations Unies.
La lutte contre la violence faites aux femmes est un facteur clé de la réalisation des objectifs de développement durable. En janvier, l’ONU a lancé la Décennie d'action pour promouvoir la réalisation de ces objectifs à l’horizon 2030.
L’ONU en Arménie a décidé de donner à des femmes et à des jeunes filles la possibilité de développer leurs compétences dans le domaine du codage et de l’entrepreneuriat, avec pour objectif la réduction de la fracture technologique qui existe entre les femmes arméniennes et les femmes réfugiées dans le pays.