Les équipes de l'ONU sur le terrain travaillent avec les gouvernements et les principales parties prenantes pour aider les pays à faire face à la pandémie de COVID-19 et à ses effets et à s’en relever progressivement. Elles travaillent au quotidien à résoudre un certain nombre de problèmes multidimensionnels prioritaires et mettent en œuvre des initiatives déterminantes pour l’amélioration du bien-être des populations.
Au-delà de ses effets dévastateurs sur la population, les infrastructures et l'économie ukrainiennes, la guerre en Ukraine pourrait également avoir des répercussions considérables sur le développement durable au niveau mondial.
En Haïti, les enfants retournent peu à peu à l'école grâce à un ambitieux programme de reconstruction des écoles détruites par le séisme survenu dans le pays en août 2021.
"J'ai récemment remonté la côte ouest du Yémen, le long d'une étroite bande de terre située entre les lignes de front, pour essayer d’aller à la rencontre des familles qui n'ont pas vraiment pu bénéficier d’une aide humanitaire. Les habitants de ces régions avaient désespérément besoin de nous raconter leur histoire.
Les partenariats public-privé (PPP) sont l’un des instruments qui permettent de combler le déficit de financement des infrastructures. Toutefois, les PPP n’étant pas tous nécessairement appropriés pour la mise en œuvre des ODD, la Commission économique pour l'Europe (CEE) a piloté une initiative mondiale visant à élaborer une méthodologie d'évaluation reposant sur une approche "axée sur les intérêts de la population" qui permet de noter les projets d'infrastructure réalisés par le biais de PPP et de déterminer dans quelle mesure ils contribuent à la réalisation des ODD.
À la fin de chaque journée de travail, une autre journée commençait pour Adisa. Pour s'assurer que sa famille disposerait d’eau à la maison, elle devait parcourir environ 1,5 kilomètre pour aller en chercher dans un ruisseau. Aujourd'hui, grâce à un programme conjoint de l'ONU, Adisa n'a plus besoin de se dépêcher pour rentrer du travail : sa famille a désormais un accès facile et fiable à une eau propre.
"L'eau est tout pour moi. J'en ai vraiment besoin en ce moment : elle me procure un équilibre et je ressens le besoin de la regarder et de toujours être en contact avec les villes proches de l'eau. Je me mobilise pour la défense de l'eau parce je souffre de voir toute cette pollution. Je veux trouver des solutions à ce problème qui touche tout le monde", explique Yago...
Jonathan, 42 ans, a travaillé pendant près de 30 ans dans le secteur du bâtiment. Il reconnaît qu'il n'est pas rare que les femmes qui passent devant les chantiers de construction où il travaille soient victimes de toutes sortes d'attaques personnelles : insultes, sifflements, huées et autres formes de harcèlement.
Les Yéménites endurent actuellement la pire crise humanitaire que connaisse le monde, une catastrophe aggravée par les effets de la pandémie de COVID-19 et d’une sévère crise économique. Les deux tiers de la population ont besoin d'une aide humanitaire pour survivre. Plus de 16 millions de Yéménites souffriront de la faim cette année.
Le Rapport 2020 sur l'état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans la région Asie et Pacifique fait le point sur les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs définis pour 2030 (ODD et objectifs de l’Assemblée mondiale de la Santé) au niveau régional et national.