La ville de Kodok se trouve sur la rive ouest du Nil, dans le nord du Soudan du Sud. On ne peut pas s'y rendre par la route et aucun vol commercial n’y atterrit non plus. Cela signifie que l'aide extérieure arrive dans cette ville avec beaucoup de difficulté...
"L'eau est tout pour moi. J'en ai vraiment besoin en ce moment : elle me procure un équilibre et je ressens le besoin de la regarder et de toujours être en contact avec les villes proches de l'eau. Je me mobilise pour la défense de l'eau parce je souffre de voir toute cette pollution. Je veux trouver des solutions à ce problème qui touche tout le monde", explique Yago...
L’ONU travaille avec le gouvernement et la population de la République démocratique populaire lao pour que personne ne soit laissé pour compte. Le Programme alimentaire mondial apporte son aide aux travailleurs migrants de retour qui sont placés dans les centres de quarantaine du pays en leur distribuant de la nourriture et des produits d'hygiène et s'efforce d'aider les habitants des villages à se procurer la nourriture qui leur manque et à devenir autosuffisants en cas de perte de revenus. L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) aide quant à elle le gouvernement laotien en améliorant la gestion des frontières, en plaidant pour des parcours migratoires sûrs et en apportant une aide directe aux migrants de retour.
Dans le monde entier, les équipes de pays des Nations Unies continuent à fournir un appui médical, logistique et socio-économique aux autorités nationales en coordonnant les interventions de riposte à la COVID-19. Grâce à une coordination renforcée, elles mobilisent les partenaires nationaux, régionaux et mondiaux pour livrer des fournitures médicales vitales aux communautés vulnérables, lutter contre les informations erronées sur l'efficacité des vaccins et garantir une distribution équitable des vaccins par le biais du mécanisme COVAX.
Nous vivons un moment inédit de l’Histoire. La COVID-19 continue de dévaster les systèmes de santé, de paralyser les économies et d'exacerber les inégalités dans le monde entier. Au moment où j'écris ces lignes, la région des Caraïbes reste un épicentre de la pandémie et cela traduit une réalité élémentaire : la résolution des crises mondiales requière des solutions mondiales...
Jonathan, 42 ans, a travaillé pendant près de 30 ans dans le secteur du bâtiment. Il reconnaît qu'il n'est pas rare que les femmes qui passent devant les chantiers de construction où il travaille soient victimes de toutes sortes d'attaques personnelles : insultes, sifflements, huées et autres formes de harcèlement.
Des livraisons de vaccins financées par le mécanisme COVAX sont effectuées chaque jour dans différents pays du monde. Ces livraisons représentent le chemin vers la reconstruction. Celles et ceux qui sont en première ligne face à la pandémie partagent avec nous leur enthousiasme.
Nous voici une année après le début de la pandémie de COVID-19. Notre monde a dû faire face à un tsunami de souffrances. Tant de vies ont été fauchées. Les économies ont été bouleversées et les sociétés ont été ébranlées. Ce sont les plus vulnérables qui ont le plus souffert. Les laissés-pour-compte sont encore plus démunis aujourd’hui qu’ils ne l‘étaient auparavant.
En tant que Coordinatrice nationale des services médicaux d'urgence à Freetown, la capitale, la Lieutenante Moiwo doit jongler entre les services nationaux d'ambulance, les cliniciens qui exercent dans les hôpitaux, les centres de traitement et les unités d'isolement et les services d’aide psychosociale aux patients et aux familles. Elle communique également les résultats des tests et met à jour la base de données nationale sur la COVID-19.
Les Yéménites endurent actuellement la pire crise humanitaire que connaisse le monde, une catastrophe aggravée par les effets de la pandémie de COVID-19 et d’une sévère crise économique. Les deux tiers de la population ont besoin d'une aide humanitaire pour survivre. Plus de 16 millions de Yéménites souffriront de la faim cette année.