Clement Ejim, 33 ans, s’épanouissait dans sa carrière d'enseignant à l'école de santé de la petite ville d'Abuochiche, au Nigeria. Puis,iIl y a environ un an, il a eu l'occasion d’élargir son périmètre de travail et est devenu membre de l'initiative Spotlight.
La pandémie de COVID-19 a provoqué une multiplication des actes de violence à l'égard des femmes et des filles et a empêché le milliard de personnes handicapées que compte le monde d'accéder à l'éducation et à des services vitaux. Les équipes de pays de l’ONU déploient diverses actions pour lutter, partout, contre ces formes de violence et de discrimination.
Vu de l’extérieur, le bâtiment ne paye pas de mine. Ce n'est qu'un petit immeuble de bureau, tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Rien de spécial. Mais à l'intérieur, dans les salles aménagées en refuges pour personnes migrantes du nord du Brésil, des rêves sont en train de naître.
Discours du Secrétaire général de l'ONU à l'Université de Columbia : "Nous faisons face à une pandémie dévastatrice, le réchauffement planétaire atteint de nouveaux sommets, la dégradation de l’environnement n’a jamais été pire et nous accusons de nouveaux reculs sur la voie des objectifs mondiaux qui pourraient rendre possible un développement plus équitable, plus inclusif et plus durable..."
Pour les 16 jours de mobilisation contre la violence de genre, l’appel des Nations Unies à « Oranger le monde » s’accompagne du cri de ralliement « Financer, répondre, prévenir et collecter », un slogan appelant à combler les insuffisances en matière de financement, à assurer la fourniture de services essentiels aux victimes de la violence de genre, à concentrer les efforts sur la prévention et à recueillir les données nécessaires pour adapter et améliorer les services d’aide aux femmes et aux filles victimes de violence.
En collaboration avec les gouvernements et les partenaires, les équipes de pays des Nations Unies actives à travers le monde s'efforcent d'aider les autorités nationales à assurer la sûreté et la sécurité des communautés, en particulier de celles qui sont confrontées à des situations de crise humanitaire. Les équipes intensifient leurs efforts pour être en mesure de fournir aux populations les plus vulnérables davantage d'abris et de fournitures vitales essentielles. Voici certaines des actions menées de manière coordonnée par nos équipes sur le terrain.
Le conflit du Tigré a éclaté si soudainement que des milliers d'Éthiopiens ont été pris au dépourvu. Pour répondre à l’afflux croissant de réfugiés au Soudan, l’ONU et ses partenaires ont mis au point un plan de préparation humanitaire afin d’être en capacité d’aider près de deux millions de personnes.
Née au Népal dans les privilèges et le confort d’un famille brahmane de haute caste, Ratna Khawas a vu sa vie changer radicalement lorsqu'en 1968, elle a épousé un homme issu d’une autre classe sociale que la sienne. Le couple a déménagé à Belbari, le village natal du mari de Ratna, où les habitants n’avaient ni toilettes ni installations pour se laver les mains. Ce choc l'a conduite à s’engager dans ce qui est devenu la quête d’une vie pour l’amélioration de l'assainissement dans sa communauté.