La pandémie de COVID-19 a provoqué une multiplication des actes de violence à l'égard des femmes et des filles et a empêché le milliard de personnes handicapées que compte le monde d'accéder à l'éducation et à des services vitaux. Les équipes de pays de l’ONU déploient diverses actions pour lutter, partout, contre ces formes de violence et de discrimination.
Après six mois de confinement, le gouvernement namibien a mis fin aux restrictions de voyage et aux couvre-feux, au regard de la baisse du nombre de nouveaux cas de COVID-19. Cependant, l'économie namibienne, qui dépend fortement du tourisme axé sur la faune sauvage, a été fortement touchée durant cette période et l'avenir des réserves de faune sauvage dans le pays est loin d'être assuré...
Le gouvernement laotien travaille d'arrache-pied pour protéger la population contre la propagation de la COVID-19 et atténuer l'impact socio-économique des mesures de confinement. L’ONU appuie l’action du gouvernement et met l'accent sur le renforcement de la protection sociale pour toutes et tous, notamment pour les plus vulnérables, le soutien à celles et ceux qui sont le plus durement touchés par la perte de leurs sources de revenus et la protection des droits au travail.
Du fait de sa petite taille, de la distance qui le sépare des grands marchés et du manque de diversité de ses activités économiques, Sao Tomé-et-Principe est confronté à un certain nombre de défis. Comme de nombreux autres petits États insulaires en développement, Sao Tomé-et-Principe doit également faire face aux effets du changement climatique, tels que l'élévation du niveau de la mer.