La région Asie et Pacifique est dynamique et prospère. Comment se fait-il que près de deux milliards de personnes y connaissent une telle insécurité alimentaire ? Ce chiffre n'est qu'une des nombreuses conclusions du dernier rapport annuel sur l'état de la sécurité alimentaire et de la nutrition...
La COVID-19 menace la santé et l’état nutritionnel de près de deux milliards de personnes pour la seule région Asie et Pacifique. La pandémie fait des ravages dans le monde entier en détruisant la vie de milliards de personnes déjà fragilisées. Les équipes de l’ONU se mobilisent dans le monde entier pour aider à relever des défis majeurs en matière de santé, de nutrition et de sécurité des personnes. Voici certaines des actions qu'elles ont mises en œuvre de façon coordonnée.
Lorsque la guerre, interminable, a atteint Taizz City, au Yémen, Ashwaq a vu son quartier s'effondrer. Au milieu des bombardements, sa maison a pris feu. Elle a alors fui avec son mari et leurs quatre enfants - dont un fils paralysé - pour échapper à la mort.
La COVID-19 est comme une pluie orageuse et puissante qui s’abat sur le monde entier. Au bout du compte, personne n'est épargné. Ce seul fait doit nous faire prendre conscience d'une vérité fondamentale : l'humanité ne survivra et ne prospérera que si tous les pays coopèrent entre eux. Nous devons améliorer la gouvernance mondiale en matière de santé et adopter une approche multilatéraliste.
Le 6 janvier, le Secrétaire général des Nations Unies, M. António Guterres, a nommé Mme Sara Beysolow Nyanti, du Libéria, au poste de Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Népal, avec l'approbation du gouvernement hôte.
Dans son premier grand discours de l'année, le secrétaire général de l’ONU a insisté sur la nécessité d'une coopération mondiale pour relever les défis actuels tels que la pandémie de COVID-19 et le changement climatique.
Le monde est sur le point de clore l’année 2020. En ces temps difficiles, nous reconnaissons les efforts coordonnés et continus des équipes de pays des Nations Unies dans le monde entier. Nous mettons aujourd’hui en avant un certain nombre de leurs interventions dans différentes parties du monde.
En début d'année, dans une plantation de thé située au nord-est de l'Inde, une femme que l‘on appellera Manjita (ce n'est pas son vrai nom) s'est retrouvée en danger. La propagation de la COVID-19 avait entraîné des fermetures d'entreprises et Manjita s’était retrouvée isolée chez elle avec un conjoint violent, coupée de tout accès à des services ou réseaux de soutien.
Au Viet Nam, les hommes gays, bisexuels ou travailleurs du sexe sont victimes de discrimination et de harcèlement. Dans ces communautés, les hommes traversent des épreuves difficiles, mais se soutiennent mutuellement. Dans cette histoire, deux d’entre eux racontent comment ils ont créé, l’un un café, l’autre une clinique, pour rendre à leur communauté l’aide qu’elle leur a apportée. Dans cette aventure, l'ONU a apporté sa pierre à l’édifice...
La pandémie de COVID-19 a provoqué une multiplication des actes de violence à l'égard des femmes et des filles et a empêché le milliard de personnes handicapées que compte le monde d'accéder à l'éducation et à des services vitaux. Les équipes de pays de l’ONU déploient diverses actions pour lutter, partout, contre ces formes de violence et de discrimination.