"L'eau est tout pour moi. J'en ai vraiment besoin en ce moment : elle me procure un équilibre et je ressens le besoin de la regarder et de toujours être en contact avec les villes proches de l'eau. Je me mobilise pour la défense de l'eau parce je souffre de voir toute cette pollution. Je veux trouver des solutions à ce problème qui touche tout le monde", explique Yago...
Dans le monde entier, les équipes de pays des Nations Unies continuent à fournir un appui médical, logistique et socio-économique aux autorités nationales en coordonnant les interventions de riposte à la COVID-19. Grâce à une coordination renforcée, elles mobilisent les partenaires nationaux, régionaux et mondiaux pour livrer des fournitures médicales vitales aux communautés vulnérables, lutter contre les informations erronées sur l'efficacité des vaccins et garantir une distribution équitable des vaccins par le biais du mécanisme COVAX.
Vous avez déjà vu ça, probablement plus d’une fois même : des panels d’experts composés uniquement d’hommes. Sans doute ces intervenants ont-ils été invités à parler d'économie, de politique, de mobilisation communautaire ou de santé. Ils sont peut-être des experts dans leur domaine, mais il manque tout de même un élément dans ces panels : des femmes.
Dans ce rapport annuel, le Comité exécutif conjoint du gouvernement albanais et de l’ONU en Albanie présente l’état d'avancement, en 2020, de la mise en œuvre du Programme de coopération pour le développement durable 2017-2021.
Les inégalités entre les sexes nuisent aux femmes et aux filles et empêchent des sociétés entières de se développer. Lorsque les femmes sont libres, égales aux hommes et autonomes, elles sont plus heureuses sur le plan personnel et en meilleure santé et elles contribuent de manière plus significative à la vie de leur famille, de leur communauté et de leur pays.
L'équipe de l’ONU en Serbie se consacre depuis longtemps à la lutte contre les inégalités entre les sexes. Elle œuvre à ce qu'aucune femme ou fille en Serbie ne soit laissée pour compte. Elle travaille pour cela sur plusieurs fronts : élimination des mariages d'enfants, élimination de la violence domestique, promotion de la santé des femmes pendant la pandémie de COVID-19, etc.
Les Yéménites endurent actuellement la pire crise humanitaire que connaisse le monde, une catastrophe aggravée par les effets de la pandémie de COVID-19 et d’une sévère crise économique. Les deux tiers de la population ont besoin d'une aide humanitaire pour survivre. Plus de 16 millions de Yéménites souffriront de la faim cette année.
"Dans ma classe, j'ai 20 élèves et 13 d'entre eux sont issus de familles de bergers", explique Byamba, maîtresse dans une classe de cinquième année, dans un comté reculé de Mongolie situé à plus de 1.000 km de la capitale. La Mongolie est un très vaste pays, où les éleveurs nomades vivent dispersés à travers les steppes et les montagnes pour faire paître leurs troupeaux. Nombreux sont les enfants d’éleveurs qui fréquentent des internats dans des comtés isolés.
Du déploiement de robots pour le dépistage du virus à l'achat et à la livraison de vaccins dans le monde entier, les équipes de pays des Nations Unies soutiennent sans relâche les efforts des autorités locales et nationales dans la lutte contre la COVID-19.
Si la perspective de la mise au point de vaccins en 2021 permet d'espérer une victoire contre ce virus, le message du Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, qui estime qu’"il n'y a pas de panacée en cas de pandémie" est très clair. La riposte la plus pratique face à cette pandémie reste l’application de mesures de santé publique strictes et axées sur des éléments scientifiquement prouvés qui empêchent la propagation de la COVID-19...
Dans les communautés rurales et frontalières du Belize, une campagne mobile inédite associe l'enregistrement des naissances à la distribution de nourriture et de produits d'hygiène aux familles vulnérables.