À bord du charter du Programme alimentaire mondial (PAM) et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de la compagnie Ethiopian Airlines se trouvent un million de masques faciaux, ainsi que des gants, des lunettes de protection, des ventilateurs et beaucoup d'autres équipements essentiels.
Alors que les leaders du monde entier s'efforcent de guider nos gouvernements dans l'adaptation, l'extension et le renforcement des dispositifs de transfert monétaire en espèces, des programmes d'aide alimentaire, des programmes de protection sociale et des dispositifs d’allocations familiales, entre autres [1], nous demeurons douloureusement conscients que 4 milliards de personnes - c’est-à-dire 55% de la population mondiale - dont 2 enfants sur 3, ne bénéficient d’aucune forme d’aide.
Pour faire face à ce que le Secrétaire général, Antonio Guterres, a décrit comme la plus grande crise internationale depuis la Seconde Guerre mondiale, les équipes de l’ONU ont organisé la riposte autour de neuf axes stratégiques. Découvrez leur action.
Sheldon Yett, le représentant de l'UNICEF pour le Pacifique a fait remarquer qu'en quelques mois seulement, la COVID-19 avait "bouleversé la vie des enfants dans le Pacifique" et dans la plupart des autres régions du monde, déclarant que les enfants étaient les "victimes invisibles de cette pandémie".
En mars, le système des Nations Unies a lancé une campagne humanitaire destinée à combattre le virus dans les pays les plus vulnérables du monde. Le coronavirus ne connaît pas de frontières et notre résistance collective dépend de la résistance du plus faible de nos systèmes de santé.
Le nombre de contaminations au coronavirus au Kenya est passé à au moins cinq [le 19 mars] après que le gouvernement a confirmé l’enregistrement de nouveaux cas. Le Président Uhuru Kenyatta a annoncé une série de mesures proactives visant à prévenir la propagation du virus.
La crise du coronavirus s'étend à de plus en plus de pays, avec des implications sociales et économiques de plus en plus importantes. L’ONU mobilise son personnel au niveau mondial pour aider les gouvernements des pays touchés à contenir ou à ralentir l'assaut de cette maladie mortelle.
Il est difficile d'imaginer qu'en 2020, on parle encore de femmes pionnières dans des secteurs d’activité séculaires comme la banque ou la finance, ou bien de "premières" femmes à rejoindre des conseils d'administration ou à diriger des entreprises, alors qu’on devrait considérer comme normal le fait que le monde profite de la féminisation des postes de direction.
La crise climatique mondiale n’affecte pas les femmes et les hommes de la même manière. Partout dans le monde, les femmes et les filles sont les premières exposées aux dangers de l'évolution des conditions climatiques et elles en subissent les coûts et les conséquences de manière bien plus importante que les hommes et les garçons.