L'objectif du programme COVAX soutenu par l'ONU est de permettre à environ un quart de la population des pays les plus pauvres de bénéficier de deux milliards de doses de vaccin contre la COVID-19 d'ici à la fin de 2021. Quels sont les principaux défis à surmonter pour que cette entreprise mondiale historique puisse être menée à bien ?
"Je suis vacciné. Je suis protégé. Je protège les autres". C’est le message que l’on peut lire sur la carte de vaccination que Machad s'est fait remettre. Cet agent de santé béninois est fier d’être l'une des premières personnes à s’être fait vaccinées contre la COVID-19 au Bénin...
La participation effective des femmes à la vie publique et l'égalité des chances en matière d’accès aux postes décisionnels sont reconnues à l'échelle mondiale comme des facteurs essentiels à la réalisation du développement durable. Bien que de nombreux progrès aient été réalisés pour accroître le niveau de représentation des femmes dans tous les domaines de la vie publique depuis l'adoption de la Déclaration et du Programme d'action de Beijing (1995), les changements ont été progressifs et lents. L'égalité entre les sexes et la pleine participation des femmes dans tous les domaines de la vie, au même titre que les hommes, notamment dans le domaine de la prise de décisions, font partie intégrante des ambitions de la Décennie d'action et du projet de réalisation des objectifs de développement durable (ODD) à l’horizon 2030.
Vous avez sans doute entendu parler du COVAX dans l’actualité sur la pandémie de Covid-19 ces derniers jours, notamment dans le cadre de l'envoi de vaccins au Ghana et en Côte d'Ivoire, les premiers arrivés en Afrique. ONU Info vous explique ce qu'est le mécanisme COVAX et pourquoi ce dispositif est important.
Le mécanisme mondial COVAX est la plus grande opération d'achat et de fourniture de vaccins jamais réalisée. L'UNICEF pilote les opérations pour le compte du mécanisme mondial COVAX. En s’appuyant sur les capacités de plusieurs organisations, ce mécanisme doit permettre à 190 pays de bénéficier d’un accès équitable à 2 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19 et à 1 milliard de seringues...
En réponse à la pandémie actuelle, les équipes de l'ONU, partout dans monde, ont uni leurs forces non seulement pour endiguer la propagation de la maladie, mais aussi pour faire face à ses nombreux effets collatéraux, notamment aux pertes d'emplois massives et à l'augmentation des actes de violence de genre. Découvrez en 5 points clés comment l'ONU mène le combat contre cette pandémie.
Les inégalités entre les sexes nuisent aux femmes et aux filles et empêchent des sociétés entières de se développer. Lorsque les femmes sont libres, égales aux hommes et autonomes, elles sont plus heureuses sur le plan personnel et en meilleure santé et elles contribuent de manière plus significative à la vie de leur famille, de leur communauté et de leur pays.
L'équipe de l’ONU en Serbie se consacre depuis longtemps à la lutte contre les inégalités entre les sexes. Elle œuvre à ce qu'aucune femme ou fille en Serbie ne soit laissée pour compte. Elle travaille pour cela sur plusieurs fronts : élimination des mariages d'enfants, élimination de la violence domestique, promotion de la santé des femmes pendant la pandémie de COVID-19, etc.
Les Yéménites endurent actuellement la pire crise humanitaire que connaisse le monde, une catastrophe aggravée par les effets de la pandémie de COVID-19 et d’une sévère crise économique. Les deux tiers de la population ont besoin d'une aide humanitaire pour survivre. Plus de 16 millions de Yéménites souffriront de la faim cette année.
Les équipes de pays des Nations Unies se mobilisent dans le monde entier pour apporter un appui essentiel aux autorités locales et nationales dans le cade du déploiement des programmes de vaccination contre la COVID-19. Elles interviennent également de manière très proactive pour freiner l'augmentation du nombre de cas d'Ebola en République démocratique du Congo et en Guinée.
Au mois de janvier, la tempête tropicale Eloíse a tué au moins 11 personnes au Mozambique. Ce chiffre peut sembler relativement bas, mais le bilan réel de la catastrophe est bien plus lourd. La tempête a touché 440.000 personnes au total et en a déplacé 43.000. Elle a également causé des dégâts considérables dans 76 établissements de soins et 400 salles de classe...