Les équipes de pays des Nations Unies se mobilisent dans le monde entier pour apporter un appui essentiel aux autorités locales et nationales dans le cade du déploiement des programmes de vaccination contre la COVID-19. Elles interviennent également de manière très proactive pour freiner l'augmentation du nombre de cas d'Ebola en République démocratique du Congo et en Guinée.
Au mois de janvier, la tempête tropicale Eloíse a tué au moins 11 personnes au Mozambique. Ce chiffre peut sembler relativement bas, mais le bilan réel de la catastrophe est bien plus lourd. La tempête a touché 440.000 personnes au total et en a déplacé 43.000. Elle a également causé des dégâts considérables dans 76 établissements de soins et 400 salles de classe...
Le Coordonnateur résident des Nations Unies et les représentants de l'équipe de pays des Nations Unies en Guinée se sont rendus à Nzérékoré, en Guinée, pour évaluer la propagation du virus Ebola et aider le pays à élaborer un plan d'intervention efficace.
La vie peut être très difficile dans les villages ruraux du sud du Niger. Certaines années, comme l'année passée et celle qui l’a précédée, les récoltes sont ravagées par les insectes. Et surtout, le climat peut être rude. Le mercure peut dépasser les 40 degrés pendant la saison chaude et les pluies peuvent être violentes et torrentielles pendant la saison humide. Un jour, se souvient Asma Abdou, "Une forte pluie a commencé à tomber à 4 heures de l'après-midi. À 7 heures, j'ai mis les enfants au lit sous une moustiquaire". Asma a pris cette habitude pour protéger ses enfants des maladies transmises par les insectes, comme le paludisme.
Dans beaucoup de régions à travers le monde, les secteurs liés aux sciences, à la technologie, à l'ingénierie et aux mathématiques sont dominés par les garçons. En Ouzbékistan, les écoles font en sorte d'inciter les filles à s’y intéresser elles aussi. L'ONU a mis en œuvre un programme qui joue un rôle de catalyseur très important dans le pays pour faire entrer davantage de filles dans ces secteurs.
Candelario a émigré au Costa Rica à l'âge de 90 ans ; Juan Carlos à l'âge de 10 ans. Tous deux sont venus à la recherche d'opportunités pour réaliser leur rêve de commencer une vie meilleure. Grâce au soutien de l'État, de la communauté et de l’ONU, leur rêve est aujourd'hui devenu réalité.
Les équipes de l’ONU continuent à travailler avec les autorités nationales et locales du monde entier pour garantir la sécurité et la dignité des réfugiés, des migrants, des communautés autochtones et des enfants. Leurs efforts contribuent à améliorer la situation sanitaire et socio-économique des pays et à créer de meilleures conditions de vie pour les personnes les plus exposées à la pandémie et à ses effets. Les équipes de l’ONU dispensent des formations aux premiers secours, livrent des fournitures et des équipements qui permettent de sauver des vies, assurent la protection des droits fondamentaux des personnes qu’elles aident et font en sorte qu'aucun adulte ni enfant ne soit laissé pour compte
Lorsque la guerre, interminable, a atteint Taizz City, au Yémen, Ashwaq a vu son quartier s'effondrer. Au milieu des bombardements, sa maison a pris feu. Elle a alors fui avec son mari et leurs quatre enfants - dont un fils paralysé - pour échapper à la mort.