En début d'année, dans une plantation de thé située au nord-est de l'Inde, une femme que l‘on appellera Manjita (ce n'est pas son vrai nom) s'est retrouvée en danger. La propagation de la COVID-19 avait entraîné des fermetures d'entreprises et Manjita s’était retrouvée isolée chez elle avec un conjoint violent, coupée de tout accès à des services ou réseaux de soutien.
La pandémie de COVID-19 a provoqué une multiplication des actes de violence à l'égard des femmes et des filles et a empêché le milliard de personnes handicapées que compte le monde d'accéder à l'éducation et à des services vitaux. Les équipes de pays de l’ONU déploient diverses actions pour lutter, partout, contre ces formes de violence et de discrimination.
Discours du Secrétaire général de l'ONU à l'Université de Columbia : "Nous faisons face à une pandémie dévastatrice, le réchauffement planétaire atteint de nouveaux sommets, la dégradation de l’environnement n’a jamais été pire et nous accusons de nouveaux reculs sur la voie des objectifs mondiaux qui pourraient rendre possible un développement plus équitable, plus inclusif et plus durable..."
Vu de l’extérieur, le bâtiment ne paye pas de mine. Ce n'est qu'un petit immeuble de bureau, tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Rien de spécial. Mais à l'intérieur, dans les salles aménagées en refuges pour personnes migrantes du nord du Brésil, des rêves sont en train de naître.
Pour les 16 jours de mobilisation contre la violence de genre, l’appel des Nations Unies à « Oranger le monde » s’accompagne du cri de ralliement « Financer, répondre, prévenir et collecter », un slogan appelant à combler les insuffisances en matière de financement, à assurer la fourniture de services essentiels aux victimes de la violence de genre, à concentrer les efforts sur la prévention et à recueillir les données nécessaires pour adapter et améliorer les services d’aide aux femmes et aux filles victimes de violence.
Née au Népal dans les privilèges et le confort d’un famille brahmane de haute caste, Ratna Khawas a vu sa vie changer radicalement lorsqu'en 1968, elle a épousé un homme issu d’une autre classe sociale que la sienne. Le couple a déménagé à Belbari, le village natal du mari de Ratna, où les habitants n’avaient ni toilettes ni installations pour se laver les mains. Ce choc l'a conduite à s’engager dans ce qui est devenu la quête d’une vie pour l’amélioration de l'assainissement dans sa communauté.
La population mondiale devrait atteindre près de 10 milliards d'habitants d'ici 2050, ce qui conduira à une augmentation considérable de la demande de nourriture. L’aggravation constante de la faim depuis 2014, après une décennie de progrès, indique qu’il est nécessaire d'accélérer et d'intensifier les actions visant à renforcer la résilience et la capacité d'adaptation des systèmes alimentaires et des moyens d'existence des populations.
Actives dans le monde entier, les équipes de pays des Nations Unies intensifient leurs efforts pour apporter une aide ciblée et innovante aux personnes les plus vulnérables face à la pandémie actuelle.
À l'occasion du 75ème anniversaire de l’ONU, l'équipe de pays des Nations Unies au Venezuela et le Réseau national des orchestres et de chœurs de jeunes et d'enfants du Venezuela - connu sous le nom de "El Sistema" (Le système, en français) - ont lancé le concours "Compose ton avenir", qui invite les musiciens âgés de 18 à 30 ans à composer une symphonie ou une symphonie chorale inspirée du thème "L’avenir que nous voulons".