Le 4 août 2021, le personnel des Nations Unies et le corps diplomatique en poste au Liban observent une minute de silence en l'honneur des personnes qui ont péri dans les explosions survenues au port de Beyrouth le 4 août 2020.
Pour célébrer la Journée internationale des peuples autochtones et la Journée internationale de la jeunesse - qui est à venir -, nous avons souhaité mettre en avant un dessin animé qui montre comment des enfants autochtones affrontent un être mystérieux qui détruit leur village : la COVID-19.
L'auteur de ce blog, Munyaradzi Chenje, actuellement Directeur du Bureau régional pour l'Afrique du Bureau des Nations Unies pour la coordination des activités de développement, revient sur les 30 années qu’il a passées à servir l’ONU avant de prendre une retraite anticipée en juillet 2021.
Vous dépendez de votre mari, de vos parents, de votre oncle ou d'autres personnes. Ces personnes peuvent faire preuve d'une certaine gentillesse, mais celle-ci est souvent accompagnée de mépris. Ces gens vous considèrent comme un fardeau. Ils passent leur frustration et leur colère sur vous. Ils ne vous envoient pas à l'école parce qu’ils pensent que cela n'en vaut pas la peine. Ils utilisent des termes cruels pour parler de vous. Ils ne vous nourrissent pas assez. Ils vous battent. Ils peuvent faire de vous ce que bon leur semble.
Le pasung est une pratique consistant à enchaîner et à confiner chez elles des personnes souffrant de troubles mentaux. Elle est fondée sur l’idée erronée que ces personnes sont physiquement agressives ou dangereuses. De nombreuses personnes en pasung sont isolées et confinées depuis des années, voire des décennies. La Dre Heni Dwi Windarwati a rencontré une personne qui était enchaînée depuis 43 ans, la plus longue période d'enfermement dont elle ait jamais eu connaissance...
La pandémie de COVID-19 pourrait offrir des "opportunités" pour améliorer les soins de santé en Papouasie-Nouvelle-Guinée après la crise, selon le plus haut représentant des Nations Unies dans cette nation du sud-ouest de l'océan Pacifique.
Jonathan, 42 ans, a travaillé pendant près de 30 ans dans le secteur du bâtiment. Il reconnaît qu'il n'est pas rare que les femmes qui passent devant les chantiers de construction où il travaille soient victimes de toutes sortes d'attaques personnelles : insultes, sifflements, huées et autres formes de harcèlement.
Les données sont claires. Les femmes n’ont jamais occupé autant de postes de décision dans le secteur public, mais l'égalité est encore loin d'être atteinte : les femmes n'occupent que 21 % environ des postes ministériels dans le monde et seuls 22 pays sont gouvernés par une femme. Au rythme où vont les choses, l'égalité entre les sexes ne sera pas atteinte dans les gouvernements avant 2150, c’est-à-dire avant 130 ans. Mais les femmes persévèrent et leurs actions continuent à apporter la preuve que lorsqu'elles dirigent, elles apportent des changements qui transforment leur communauté et le monde tout entier. Ces changements sont vitaux à l’heure de la COVID-19, du changement climatique, de l'aggravation des inégalités, des conflits et du recul démocratique.
Grâce aux efforts de tout le monde, aux mesures de sécurisation des salles de classes et aux dispositifs d’enseignement à distance mis en place, plus d'un million d'élèves ont pu retourner à l'école au Costa Rica. Grâce à l’appui de l’ONU, le Costa Rica est devenu l'un des premiers pays à rouvrir ses établissements scolaires dans les délais prévus, offrant ainsi sécurité et chances intégration à des milliers d'enfants, d'adolescents et de jeunes.
Si la perspective de la mise au point de vaccins en 2021 permet d'espérer une victoire contre ce virus, le message du Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, qui estime qu’"il n'y a pas de panacée en cas de pandémie" est très clair. La riposte la plus pratique face à cette pandémie reste l’application de mesures de santé publique strictes et axées sur des éléments scientifiquement prouvés qui empêchent la propagation de la COVID-19...